L’année 2012 fait la part belle au segment maxiscooter. Après Honda qui présente l’Integra 700, BMW qui débarque avec les C 600 Sport et le 650 GT,
c’est Yamaha, leader sur ce créneaux, qui revoit son célébrissime TMAX.
intrinsèquement point de révolution, mais au final une belle évolution
qui se distingue tout d’abord visuellement. Le TMAX conserve son allure
générale, mais affirme sa personnalité de scooter sportif, s’appropriant
de nouvelles lignes des plus anguleuses et quelques gènes empruntés aux
supersportives et hypersportives de la marque japonaise.
De face, on reconnaît le Yamaha TMAX 2012 à ses nouvelles optiques halogènes qui s’insèrent dans une proue aux lignes tendues. Entre ces feux, qui composent cette nouvelle signature visuelle, trône une veilleuse empruntée à la Yamaha R6. Pour parfaire cet impressionnant faciès, les clignotants s’installent dorénavant dans des flancs de carénages plus enveloppants.
De face, on reconnaît le Yamaha TMAX 2012 à ses nouvelles optiques halogènes qui s’insèrent dans une proue aux lignes tendues. Entre ces feux, qui composent cette nouvelle signature visuelle, trône une veilleuse empruntée à la Yamaha R6. Pour parfaire cet impressionnant faciès, les clignotants s’installent dorénavant dans des flancs de carénages plus enveloppants.
Plus racé, plus raffiné
Le poste de pilotage est plus
raffiné. En jouant sur le contraste des matières, employant tantôt des
textures carbones, tantôt des plastiques à l’aspect lissés, Yamaha met
en valeur la nouvelle planche de bord, un rien plus sportive.
L’accessoire se cale derrière la nouvelle bulle (réglable sur deux
positions) dotée d’une prise d’air à sa base. L’habillage du pont
central diffère légèrement et le TMAX 2012 adopte un sabot aux angles
marqués. Derrière, les changements sont encore plus notables.
Ils s’observent au niveau des flancs, qui adoptent des prises d’air, puis c’est l’intégralité du bloc optique qui a été repensé. Les amateurs d’hypersportives ne manqueront pas les similitudes avec une certaines R1 2004. On trouve en effet un feu central à leds et deux clignotants assurant un équilibre visuel parfait à cette poupe. Dernière évolution stylistique - et pas des des moindres -, la transmission finale est maintenant ajourée. On peut désormais observer la courroie sur le monobras, comme cela ce fait dans le monde de la moto. Belle pièce !
Ils s’observent au niveau des flancs, qui adoptent des prises d’air, puis c’est l’intégralité du bloc optique qui a été repensé. Les amateurs d’hypersportives ne manqueront pas les similitudes avec une certaines R1 2004. On trouve en effet un feu central à leds et deux clignotants assurant un équilibre visuel parfait à cette poupe. Dernière évolution stylistique - et pas des des moindres -, la transmission finale est maintenant ajourée. On peut désormais observer la courroie sur le monobras, comme cela ce fait dans le monde de la moto. Belle pièce !
Couple en hausse, poids en baisse
Ce changement au niveau du
châssis n’a pas qu’un simple intérêt visuel nous signale-t-on chez
Yamaha. Cette évolution contribuerait à la réduction du poids total de
l’engin, allégé de 4 kg au final. Ce bloc transmission est relié au
cadre par une nouvelle suspension à bras en aluminium et sur la roue
arrière, on observe un nouveau disque de frein dont le diamètre est
maintenant de 282 mm. Une dernière évolution sur la partie cycle est
signaler : le TMAX 2012 possède une nouvelle paire de jantes à 5
branches.
Avec du poids en moins, des masses redistribuées vers l’avant, Yamaha renforce légèrement l’agilité de son scooter mais pour le rendre encore plus incisif, la motorisation à également subit une légère optimisation. La cylindrée du bicylindre du TMAX augmente, passant de 500 à 530 cm3, et le bloc s’allège. Yamaha nous promet un gain en progressivité, mais également un surplus de couple à bas et moyen régimes. Comment le constructeur s’y est-il pris ? En adoptant des pistons en aluminium forgé, une chambre de combustion en dôme optimisée et un nouveau profil de cames. Au niveau du piston d’équilibrage, une nouvelle chemise en aluminium, plus légère, remplace l’ancienne.
Ces évolutions tant au niveau du style que de la motorisation s’accompagneront également de hausses de prix nous signale-t-on. Il n’y a pas d’information quant à la disponibilité de l’engin, toutefois il sera disponible en version standard et ABS.
Avec du poids en moins, des masses redistribuées vers l’avant, Yamaha renforce légèrement l’agilité de son scooter mais pour le rendre encore plus incisif, la motorisation à également subit une légère optimisation. La cylindrée du bicylindre du TMAX augmente, passant de 500 à 530 cm3, et le bloc s’allège. Yamaha nous promet un gain en progressivité, mais également un surplus de couple à bas et moyen régimes. Comment le constructeur s’y est-il pris ? En adoptant des pistons en aluminium forgé, une chambre de combustion en dôme optimisée et un nouveau profil de cames. Au niveau du piston d’équilibrage, une nouvelle chemise en aluminium, plus légère, remplace l’ancienne.
Ces évolutions tant au niveau du style que de la motorisation s’accompagneront également de hausses de prix nous signale-t-on. Il n’y a pas d’information quant à la disponibilité de l’engin, toutefois il sera disponible en version standard et ABS.
Les photos officielles et les fonds d’écran du Yamaha TMAX 2012 sont ici
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