La Yamaha YZF R1 2012 dévoilée officiellement
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Esthétiquement, donc, le lifting est léger et on aurait sans doute préféré un petit régime puisque la mode est plutôt aux motos petite, légère et maniable la R1 dénote un peu avec son relatif encombrement et ses 206 kilos tout pleins faits. Les changements se situent sur la face avant, où des prises d’air sont ouvertes sous les phares, ainsi qu’à l’arrière, où les silencieux, qui étaient quand même particulièrement moche (ce n’est que mon avis bien sur !), ont été rétréci. Notons que désormais les feux de positions sont à LED.
Pour ce qui est des vrais changements c’est au rayon de l’électronique embarquée qu’il faut se rendre, en effet le constructeur japonais dote son HyperSport d’un système de contrôle de traction. Ce système nommé TCS (Traction Control System, bah oui !) est réglable sur 6 positions différentes qui permettent de régler sa sensibilité. En pratique dés qu’un patinage est détectée à la roue arrière, il agit sur l’ouverture des gaz, l’injection et l’allumage. Le TCS vient s’ajouter au système de choix de cartographie d’injection aux guidon, ce qui laisse aux futurs
Le 4 cylindres au calage « cross-plane » de 998cm³ est donc le même que sur le précédent modèle, il développe en version « full power » 182 chevaux. La partie cycle elle non plus ne connaît pas de changements, seuls un nouveau support de guidon en aluminium moulé par gravité et des repose-pieds dotés de saillies antidérapantes font leurs apparition.
Aux niveaux des coloris, le monstre japonais sera disponible dans les traditionnels Yamaha Blue et Competition White tout deux accompagnés de jantes couleurs or, mais également en Matt Grey (gris mat) et Anniversary White soit le coloris arboré par les pilotes Yamaha de MotoGP pour célébrer le 50ème anniversaire de la marque en Grand Prix. Ce coloris sera d’ailleurs étendu à d’autres modèles de la marque aux diapasons tels que la R6, la FZ8 et la R125. On ne connaît pas encore le prix et la date de disponibilité de cette R1 2012.
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